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La Grèce : Le retour du Régime de la Finance
La Grèce avant... la Grèce après.
La Grèce apprend... la Grèce avait... son destin entre ses mains (comme nous en France et ailleurs).
Mais ça c'était avant.
Avant que quelques mécanismes financiers mondialisés et hégémoniques, qui n'ont de légaux que le fait d'avoir fait voter des lois pour glorifier leurs actions obligataires et obligatoires, se mettent à arroser généreusement de liquidités des Pays contre leur privatisation globale jusqu'à la noyade. Un mécanisme obligatoire, un savant calcul, pour récolter les intérêts des crédits de la croissance éphémère et surtout ceux, à long terme, de la colossale Dette contractée qui demande encore moins d'efforts à ceux qui payent pour regarder travailler les autres.
Une Dette contractée dont les intérêts se récoltent à grand renfort de propagandes politiques et médiatiques, de manière plutôt décontractée, trop décontractée, sans pudeur... abjecte.
C'est la Loi du Marché qui est surtout la marchandisation de l'argent.
De l'argent qui doit être très, très, très sale pour être nettoyé dans ces grandes blanchisseries que sont devenus les États avec l'aimable complicité de leurs gouvernants rémunérés pour faire le "Job".
Et les Peuples?
Les Peuples sont éduqués dans le rêve démocratique et tant qu'il rêvent... jusqu'ici tout va bien, la récolte bât son plein.
C'était comment la Grèce avant l'UE? Ce que les médias ne vous diront jamais.
La crise grecque en une minute
Nigel Farage : "M. Tsipras, "C'est le moment de sortir de la zone euro la tête haute."
Il existe un Projet Fiscal et Économique pour que la Grèce sorte la tête hors de l'eau et reprenne son destin en mains... réellement.
Ce Projet c'est le notre, celui de France Espérance. Un Projet que nous souhaiterions également voir appliquer à la France comme à tout ceux qui espèrent sortir du Modèle Économique prédateur qui, conspiré puis appliqué, nous dévore depuis plus d'un siècle.
Un Projet qui n'a de faiblesse que de ne pas avoir été essayé, pour de sombres ou trop claires raisons politiques et de ces Hommes qui les défendes, asservis à la main qui pour l'instant les nourrit... pour l'instant.
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