Pour arrêter de se perdre en conjonctures sur un "moyen" qu'on utilise au quotidien.

"Quand le pillage devient un moyen d'existence pour un groupe d'hommes qui vit au sein de la Société, ce groupe finit par créer pour lui-même tout un système juridique qui autorise le pillage et un code moral qui le glorifie."
"Le public est ainsi fait qu'il se défie autant de ce qui est simple qu'il se lasse de ce qui ne l'est pas."
Frédéric Bastiat (1801 - 1850), franc-maçon à la loge La Zélée
Économiste politique français

Tout est là... ou presque.

"Sans Dette il n'y a pas d'Économie."

"Ce cycle monétaire garantit au Banques une rente perpétuelle."

"Nous ne sommes pas libres de ne pas être endettés."

"La rareté de la monnaie organise la concurrence entre les individus, entre les entreprises, entre les Nations."

"Les Banques créent la monnaie en fonction de leurs intérêts et non de l’intérêt général."

"Les conflits armés sont plus lucratifs que la Diplomatie. La Concurrence plus dépensière que la Coopération. La spéculation... plus rentable que le social."

"Si les banques pouvaient nous vendre l'air que l'on respire. Elles le feraient." (CO² et réchauffement climatique?)

Philosophie des siècles passés :

"Le divin représente l'Ordre supérieur. L'Ordre moral est guidé par le Divin, par le Sacré. L'Ordre Politique est guidé, lui, par la morale. Et la Finance est au service de l'Ordre Politique."

Mais :

"Mais si la Monnaie n'est plus le reflet économique de ceux qui créent les richesses réelles, mais le moyen par lequel ces richesses réelles sont échangées, l'argent devient le Maître du Monde.

Une inversion des Ordres s'opère.

Le Divin est remplacé par l'argent, n'a de valeur que ce qui a un prix, les Marchés font office de morale.

Rien ne doit enfreindre les lois du Marché, bénéfiques pour l'humanité.

La Finance est au service des Marchés.

Les financiers sont les nouveaux prophètes. Ils défendent l’immanente MAIN INVISIBLE.

La Politique et l'État sont au service de la Finance car ils en sont dépendants. Ils sont forcés de défendre les intérêts de la Finance au détriment de ceux des Peuples."

Nous ajouterons simplement, qu'au travers du cas Grec (historique et si proche de nous... trop proche de nous), nous avons aujourd'hui la chance de voir tout ceci s'articuler parfaitement. Faut-il encore avoir un cerveau qui fonctionne correctement... Pas trop colmaté par l'idiotie du quotidien.

Car c'est dans cette sauce économique universelle, abjecte, que les financiers trempent leurs frites (nous), avant de les dévorer.

Avec le temps... Ça va malheureusement devenir compliqué d'essayer de faire plus clair.

Donc... La vidéo longue qui suit est à regarder en intégralité. Oui c'est un effort... oui énorme pour certains... car elle sera effectivement longue, surtout pour les paresseux (heureusement qu'on ne vous demande pas de lire un livre). Mais il n'est pas possible de résumer en deux phrases ce qui doit participer à vous faire une idée entre ce que vous croyez avoir compris et ce que vous avez la réelle capacité de comprendre avant de l'abandonner à ceux qui sont censés vous représenter dans notre Gouvernement de façade.

Vous serez d'accord ou pas. Vous aurez, à l'issu du visionnage, la possibilité de confronter vos croyances entre amis, en famille. Vous en sortirez plus "sachant" faute d'être "savant". Ce qui est déjà pas mal... Non?

Nous ne disons pas que c'est la stricte vérité... mais c'est une partie, vérifiable, de la triste réalité.

Car au fond, nous ne sommes que de petites choses insignifiantes, qui savamment endormies se rêvent majestueuses, parfaitement "Orientées" vers des destins qui ne reposent que sur de rassurantes promesses indubitablement inaccessibles... pendant que d'autres... se gavent.

"La Dictature parfaite serait une Dictature qui aurait les apparences de la Démocratie, une prison sans murs dont les prisonniers ne songeraient pas à s'évader. Un système d'esclavage où, grâce à la consommation et au divertissement, les esclaves auraient l'amour de leur servitude."
Aldous Huxley (1894 - 1963) dans "Le meilleur des mondes"
"Il y aura dès la prochaine génération une méthode pharmaceutique pour faire aimer aux gens leur propre servitude, et créer une dictature sans larmes, pour ainsi dire, en réalisant des camps de concentration sans douleur pour des sociétés entières, de sorte que les gens se verront privés de leurs libertés, mais en ressentiront plutôt du plaisir."
Aldous Huxley, discours prononcé en 1961 à la California Medical School de San Francisco.

Dette, crise, chômage : qui crée l'argent ?