C’est passer un contrat entre le Peuple et ses Gouvernants, comme entre ceux qui gouvernent et le Peuple.

C’est faire respecter les droits et devoirs de chacun au sein de notre Nation.

Ce projet n’est pas un frein au progrès. Il a pour objectif de réconcilier le couple « économie et social ». Le progrès économique doit être aussi le progrès des peuples. 

Nos propositions, si il s'en empare, confèrent au peuple français un Pouvoir Démocratique restauré et une pleine conscience de la souveraineté, de ses choix, dans la conduite de son Pays. L’élection présidentielle ne doit pas déboucher seulement sur une ambition personnelle, souvent démagogique, et qui, comme nous  le constatons trop souvent, a toutes les libertés de se réorganiser, se transformer, décevoir, durant les années suivantes.

Cette grande élection doit nous permettre prioritairement de doter les citoyens, de doter la République française, d’outils permettant réellement de définir la politique du Pays. Les droits et les devoirs doivent être respectés par le peuple et ses dirigeants, donc tous les citoyens. Il faut un vrai contre-pouvoir.

Après avoir choisi un leader politique, installé à la plus haute fonction de l’état, nous devons pouvoir exercer, sur le Gouvernement, une influence démocratique réelle et presque permanente. En ce XXIème siècle, parce que des outils existent, les décisions importantes exigent que la population soit consultée plus souvent, pour que les actions qui en découlent, soient portées par une majorité certaine et pas seulement lobbyiste ou, venant d’autres sphères que nous pouvons identifier et considérer aujourd’hui comme anti-démocratiques.

L’exemple du « télévote », un exemple seulement, a déjà été testé dans quelques Pays pour exercer une démocratie plus participative. Il est plus largement utilisé pour ce que l’on connait déjà, comme le vote, lors de « télés réalités », lors de débats ou encore pour répondre à la question du jour proposée par des journaux télévisés, en regard de l’actualité. Donc dans la pratique, ludique, si un système de ce genre fonctionne, ne peut-il pas participer à renforcer sérieusement la forme démocratique. Et si un système permet plus de démocratie, pourquoi ne pas l'appliquer aux décisions importantes, mais aussi à toutes les élections.

Ce grand Projet reste avant tout une piste pour le changement… une piste audacieuse, que nous jugeons nécessaire car nous pensons qu'elle anime les arrières pensées de beaucoup de français, et d'autres peuples.

Il apparaîtra peut-être très difficile de lutter contre ceraines idées reçues, contre une certaine éducation ou programmation, qui permettent au monde aujourd'hui de s'emballer, sans trop de contraintes. Mais les peuples ne sont-ils pas là, pour exercer cette contrainte, ce contre-pouvoir ?

Maintenant... c'est à vous de voir.