• Europe et haine : Oui à une certaine Europe

    Non à l'Europe chimérique que nous vendent Politiques, Médias et pseudo-spécialistes coalisés qui n'ont que haine des Peuples et mépris pour les souverainetés nationales.

    Cette Europe ne sera jamais celle de tous... si ce n'est de maintenir le plus grand nombre dans la même galère. Elle est juste le pont que l'on nous réclame d'emprunter pour initialiser les accords commerciaux avec la future Union Nord Américaine. Les prémices de ces accords sont bien les enjeux lucratifs du Traité de Grand Marché transatlantique.

    Si vous votez dimanche... essayez de votez alors courageusement contre l'Europe des affairistes et des réseaux d'influence, ou vous perdrez tout ce qu'il vous reste de petites économies, de souveraineté et de dignité. Car le peu de dignité qu'il vous reste vous sera elle aussi retirée.

    Les Européennes - tout un cinéma - noyées par l'utopie d'objectifs mondialistes, de croisades en choc des civilisations, de quête du Graal en progrès scientifique. Des élections donc à leur juste place, entre Festival de Cannes et Coupe du Monde de Football.

    Ne votez pas pour ce que vous pensez savoir... mais pour ce que vous avez réellement compris. Si vous êtes dans le flou, faites-vous expliquer. Si vous ne comprenez toujours pas... n'allez pas voter bêtement... ça ne vous rendra pas plus intelligent. Faites l'effort de penser enfin autrement.

    Ne vous nourrissez pas seulement d'une dictature médiatique qu'on vous fait rentrer dans le crâne, comme on vous insèrerez une puce électronique dans le cerveau, en vous expliquant que l'opération est irréversible sous peine de décéder. Intéressez-vous au sort de la Nation, de la France, de ce beau Pays que certains souhaitent dissoudre, et non plus cristalliser. Dans le grand jeu de la "monopolysation", via cette idéologie mondialiste dévastatrice, vous n'êtes plus préoccupés que par votre quotidien. Vous oubliez d'encrer votre Territoire, support de vos projets et de votre existence, dans une vraie vision à moyen et long terme, en restant suspendus à ces promesses que les Élites ne tiennent jamais.

    Les Banques ont su très tôt, elle, sur qui il fallait miser... comme en témoigne ce chèque de la Société Générale, qui passé à la loupe, reprend de manière très subliminale la célèbre déclaration de Robert Schuman, père fondateur de l'Europe (il a dû mettre son zizi quelque part).

    Paris n'est pas la France, la France n'est pas l'Allemagne ni l'Europe, l'Europe n'est pas les États-Unis, les États-Unis ne sont pas les sauveurs et guides suprêmes de l'humanité. Pourtant ces derniers en rêvent ouvertement (Hollywood), ce qui psychanalytiquement révèle la présence d'un conflit psychique inconscient qui se traduit inlassablement dans les faits par une dynamique pulsionnelle impliquant un principe de répétition... celui de vouloir absolument pacifier les autres pour se surprotéger du Monde... et finalement de pacifier à dominer il n'y a qu'un pas.

    La construction de l’Union Européenne c'était donc de la pacification. C'est donc évidemment une propagande télévisée non stop contre l'euroscepticisme. La Commission Européenne écrit l'Histoire, son histoire, et comme tout le monde le sait l'Histoire est écrite par les vainqueurs. Les doutes, les inquiétudes, les convictions, devraient totalement s'effacer devant ses convictions à elle, et l'évidence de sa légitimité.

    Quand les Nations ne respectent pas les attentes du Marché (pour qui ?), les prérogatives financières (de qui ?), une Institution comme cette Commission Européenne émerge pour les chapeauter toutes, prélevant son indécent budget de fonctionnement sur les États membres en les exhortant à dépenser moins pour eux-mêmes et à rembourser les intérêts d'une Dette qui les entravera éternellement (pour les intérêts, plus c'est long, plus c'est bon).

    L'argent fait tout, puisqu'il dote cette super structure de Pouvoirs considérables qui supplantent les décisions démocratiques des Pays. Les populations ne lui font pourtant plus confiance, mis à part peut-être 20% de privilégiés qui lui font allégeance par abrutissement consenti au profit de leur carrière et 1% d'oligarques qui la pilotent au travers des lobbys, des médias, des "think tank" et de la politique, le tout généreusement arrosé d'un soupçon permanent de corruption financière et dans l’enivrement général d'une Idéologie de fin de III Reich. Comme c'est malin de faire voter les budgets de fonctionnement de la Commission Européenne, prélevés sur les populations par le mécanisme de la Dette éternelle, alors que les décisions fiscales et autres réglementations qui en seront issues sont principalement sponsorisées par les Marchés pour le Marché essentiellement Privé. C'est très malin... non... c'est nous qui sommes très cons.

    boriko59 - La Construction Européenne, d'Hitler à aujourd'hui.

    Propagande donc sans limite où la contradiction ne peut se dessiner que dans les sursauts de quelques partis d'Opposition. Pas toute l'Opposition bien entendu, mais il faut savoir écouter. C'est souvent dans l'Opposition que se trouve partiellement la vérité, et même partielle, même si elle ne fait pas plaisir à entendre tant certains partis sont caricaturés pour effacer la substance de leur réflexion, elle ne peut s'affirmer que là puisque le Pouvoir par définition est au Pouvoir est ne peut se renier.

    Il y a ceux qui aime la France pour de bonnes raisons, comme ceux qui vivaient jusqu'ici paisiblement en milieu rural. Il y a aussi ceux qui lui font de grande déclaration d'amour en public au nom de la République... mais qui ne souhaite s'en servir que comme d'un marchepied pour satisfaire leurs petits intérêts particuliers.

    Sarkozy nous fait une tribune dans "Le Point" (quelle surprise) pour déclarer son amour de la France et de l'Europe. S'adressant à Philippe de Villiers en 1999, peu après les Européennes justement, il déclarait :
    " Tu as de la chance, Philippe, toi tu aimes la France, son histoire, ses paysages.
    Moi, tout cela me laisse froid. Je ne m’intéresse qu’à l’avenir… " livre d’Eric Branca et Arnaud Folch, " Le mystère Villiers "

    Et d'autres porteurs d'Europe et donneurs de leçons, reçus avec de mielleuses révérences sur les plateaux TV, tel l'arrogant Cohn Bendit nous délivrant, du parlement Européen ou d'outre-Rhin, ces précieux conseils de libéral-libertaire ou encore l'illuminé Bernard Henri Lévy qui écrivait en 1985 dans le premier numéro du magazine "Globe" :
    " Bien sûr, nous sommes résolument cosmopolites. Bien sûr, tout ce qui est terroir, bourrées, binious, bref franchouillard ou cocardier, nous est étranger, voire odieux ".
    "... patries en tout genre et leurs cortèges de vieilleries ... "

    "... repli frileux et crispé sur les identités les plus pauvres ".
    " Parler patois, danser au rythme des bourrées, marcher au son des binious… tant d’épaisse sottise ".

    C'est pas de l'amour ça, c'est de la haine à peine voilé derrière un masque d'indifférence pour certains. La haine comme cet abus de langage qui veut que le mot "populisme" soit très en vogue et adroitement utilisé pour déglinguer tout ce qui peut ressembler à de la Tradition, à du Patriotisme, à des espérances populaires capables de trop rassembler... subitement, dangereusement.

    L'alternance gauche droite (indémontable semble-t-il) que nous connaissons pour ainsi dire... depuis toujours, est une démonstration permanente du vrai populisme récurrent, car il n'y en a pas d'autre. Ce Populisme c'est celui du Pouvoir, de ce courant alternatif Gauche/Droite, financé exclusivement par la Dette, sans réel autre projet que de ce maintenir par les cadeaux fiscaux qui achètent la paix sociale des plus pauvres et des communautés... mais d'abord et toujours des plus riches et de leurs communautés culturelles et médiatiques. Ce populisme s'essouffle, mais il résiste, lui aussi, c'est la célèbre lutte des classes qu'aujourd'hui les ultra-riches claironnent avoir remporté.

    N'est-ce pas une évidence que c'est bien ce "populisme" là qui fait que rien ne change. Ceux qui usent depuis si longtemps de la Caisse de l’État sont aussi les grand conservateurs des règles du jeux qui nous font tourner en rond et c'est pourtant ceux-là qui rabâchent encore et encore que ce sont les autres qui font preuve d'immobilisme, de repli sur eux-même, d'étroitesse d'esprit, d'un patriotisme dépassé, d'un amour coupable pour leur Pays et ces traditions indécentes, d'un manque de vision etc...

    C'EST FACILE d'avancer dans le sens de la marche (même anti démocratique) quand on est aux commandes (ou dans l’alternance) et que l'on espère ardemment s'y conserver, plutôt que de remettre en cause les influences hiérarchiques (Bruxelles, l’Allemagne, l'OTAN, le FMI...).

    C'est d'ailleurs sans surprise. Avons-nous déjà vu un Cadre, dans une grande entreprise, remettre en cause les visions de sa hiérarchie ? Il peut le faire... mais il sera invité à le faire dans une autre vie.

    Avons-nous déjà vu un dirigeant d'entreprise avancer à contre courant... des objectifs dictés par le Marché ? Pourquoi voulez vous que le P-DG de la Société France, en l’occurrence notre actuel Président de la république et son staff, remette en cause des objectifs qui lui seraient dictés par les visions d'une hiérarchie européenne, transatlantique et financière du Marché mondial. Il serait inviter à le faire dans une autre vie. Il sait cependant qu'il n'en a qu'une et qu'elle est déjà bien entamée.

    Y a de quoi se marrer. Pourtant c'est pas marrant du tout... ça l'était déjà de moins en moins... ça ne l'est plus.

    Le Pouvoir, même au sein de cette petite et médiocre alternance, ne délivre que "sa" vérité puisqu'il croque le premier et à pleine dents dans le gâteau. Un gâteau qui devrait pourtant être le gâteau de tous, somme du travail fourni par les générations qui se sont succédé. Et c'est bien de cela qu'on veut nous dépouiller. D'ailleurs ne se réunissent-ils pas souvent, trop souvent discrètement, pour imaginer comment croquer toujours plus dans ce gâteau : gens de Classe de l'Élite politique, de l'Élite médiatique, de l'Élite du grand patronat et des syndicats... Comment voulez-vous que ça change ?! C'est maladif, c'est une forme d'obésité qui doit engendrer de réels problèmes de santé physiologiques ou/et psychologiques, ceci expliquerait cela, mais on ne va assurément pas les plaindre.

    Et pourquoi ça changerait doivent-ils plutôt chanter avec l'orchestre après de fastueux repas à nos frais, desserrant leur cravate ou leur tour de coup, leur gaine ou leur ceinture, entre deux renvois trahissant le trop plein de leur estomac dilaté et en levant leur verre à notre santé dont eux connaissent parfaitement les causes de sa fragilité ?!

    Petit rappel...

    Connaissez vous le club "Le Siècle"?

    Pouvoir et Opposition mangent donc ensemble... souvent, mais pas tous.

    Dans l'opposition, pour les plus connus servis aux heures de table, à la TV, on trouve du J.L Mélenchon, du Dupont-Aignan, de la Marine Le Pen et d'autres qui détiennent tous partiellement ces petites vérités que l'on ne sait plus entendre et qu'ils restent pourtant libres de révéler, tant qu'en face, les collaborationnistes, certainement liés pour partie par leurs travaux effectués lors du fameux Diner mensuel cité plus haut, décident de la liberté d'expression à leur accorder et du moment où, ligne rouge franchie, il faut très distinctement, d'une voix, comme un seul homme, les diaboliser... et même pour certains les pulvériser.

    On ne dit pas qu'il faut voter pour ceux-là ou accorder plus de crédit à ceux-là.

    Cependant dans leurs envolées lyriques ces opposants ne mâchent souvent pas leurs mots. Il ne faut pas bouder son plaisir d'entendre ce que souvent on pense tout bas et que le Pouvoir rejette pourtant avec tant de virulence. Leurs discours dénoncent des fléaux, de vrais fléaux, dont notre Pays est victime, livré à la goinfrerie et aux travers cyniques de la Finance que rien ne semble plus pouvoir arrêter.

    Pourquoi alors ne pèsent-ils pas plus dans l'opinion publique ?

    Il ne pèse pas plus tant que le Pouvoir Alternatif à la force de les maintenir dans un juste déséquilibre à son avantage, car c'est bien d'avoir des voix d'oppositions, ça habille une démocratie... mais il faut qu'elles restent sous contrôle. Ceux qui ont créé les fléaux, pour qui c'est un fond de commerce, arrivent à nous convaincre que c'est toujours leur voix qui est la meilleure voie à suivre. Pour ça ils se sont offert les meilleurs outils de propagande (Presse, TV, Radios), propagande essentiellement au service du Commerce. Ces outils servent à diffuser sermons et "bonne parole" dirigées principalement vers l’épanouissent de leurs affaires, et donc des règles du Commerce qui les régissent... et donc de l’aliénation sociale nécessaire pour consommer et accepter les affaires et les règles. Ils nous ont ainsi convaincu qu'ils œuvrent pour le bien. Que leurs principaux opposants sont des infréquentables qui nous plongeraient dans l'abîme si nous osions, non pas les suivre, mais simplement imaginer que l'on puisse se laisser tenter de les écouter. Ils nous ont convaincus (trop souvent), que si ça ne marche pas aujourd'hui ça marchera mieux demain, qu'il faut du temps, 10 ans, 20 ans, 30 ans, 100 ans... 250 ans d'industrialisation au nom du Progrès Scientifique... déjà. Ils nous expliquent qu'il faut mondialiser, universaliser, demain la chine, la Russie... après demain la Lune, Vénus, Mars, Jupiter...

    Pourquoi les Partis d'opposition sont-ils alors en compétition ?

    Par simple idéologie (eux aussi) car il faut savoir lesquels conservent une certaine intégrité et ceux qui sont sous pilotage automatique, en attente, en option de remplacement d'un Pouvoir défaillant mais dont le seul avenir sera de recommencer... pour mieux faire la même chose.

    Il y a un petit Monde, dans le grand Monde, sous influences permanentes... Ici quelqu'un de ce petit Monde nous explique tout le respect que l'on doit à la République (et c'est bien à sens unique).

    F. Hollande : "Il faut passer par la Franc-Maçonnerie"

    Car ou l'on souhaite détruire ou remettre à plat un système, ou l'on souhaite juste le récupérer en l'état, pour l'État, mais pour le seul État qui compte réellement, c'est à dire celui qui tient et joue avec les comptes. Car ça vaut le coup d'être le Roi face à plus d'un "Tiers de l'État" qui ne comprend plus rien quand on sait jouer des outils de manipulation de l'opinion. Il y a les Initiés et ceux qui les suivent... les Profanes et ceux qui les précèdent. Le résultat est donc le même comme quoi c'est bien foutu. La République, l'Ordre, veille d’ailleurs avec un soin tout particulier (pas très démocratique) à ce que cet Ordre des choses (car nous sommes de petites choses bien insignifiantes) soit respecté.

    La vérité... même partielle est donc souvent dans les Partis d'opposition... et même souvent dans de tout-petits avant qu'ils ne soient encadrés. Il faut savoir l'entendre. On ne fera peut-être pas grand chose d'un petit parti d'opposition mais si vous avez décidé de soutenir un Parti, ne vous tournez pas aveuglément vers un de ces gros mastodontes qui fait profession de la politique avec votre argent pour défendre des idées qui ne seront jamais les vôtres. On fera beaucoup plus, l'essentiel du chemin, en s'assurant de rassembler même partiellement la vérité à laquelle le très petit mais influent gotha parisien ne veux pas qu'on se rattache.

    A choisir de voter, il est donc préférable aujourd'hui de voter pour un petit parti en accord avec ses convictions, plutôt que pour un personnage charismatique ou christique (mis en place pour cela), un favoris, un vainqueur annoncé (c'est pas le PMU), ou une simple alternance qui a fait ses preuves (des compétences à servir principalement les intérêts de ceux qui au dessus d'elle la nourrisse et la terrorise surement). Voter pour un gros Partis c'est finalement vouloir que rien ne change, c'est un engagement vers l'immobilisme, nous en avons tous plus ou moins déjà fait l'expérience (certains plusieurs fois et d'autres iront même jusqu'à recommencer).

    Ce n'est pas parce-que nos dirigeants et faiseurs de bonnes nouvelles cirent les pompes d'une Commission Européenne autoritaire, que l'on ne veut pas voir la faillite de l'Union Européenne pilotée par une Allemagne qui tire la couverture à elle et que l'on se tourne vers des États-Unis d'Amérique ruiné, que nous allons être épargnés. Évidemment, bien au contraire, toute notre épargne va y passer. Nous ne sommes que le charbon que l'on consume pour alimenter la chaudière vorace de la locomotive financière et qui parce-qu'en plus elle pollue, nous demande de nous acquitter promptement d'une taxe carbone. Sur ce rail économique et fiscal faire demi tour est interdit, les carrefours sont également proscrits et les aiguillages sous contrôle.

    Si l'on vous dit en gare de ne pas descendre du train mais que vous êtes convaincus d'être arrivés à destination, descendez... Au pire il en passera toujours un autre pour vous amener dans la même direction. Quand politiques et médias vous disent qu'il ne faut pas manquer ce train, c'est simplement parce qu'ils n'ont, très égoïstement pour satisfaire à leur carrière, qu'une vie et plus que quelques années de cette vie devant eux... entre deux gares sur lesquelles eux ont tout misé.

    En réalité, nous ne devrions pas être pressé - de vouloir bien faire - les choses importantes de la Vie mais l'on nous dit que rien ne va jamais assez vite. Faut-il que la Vie devienne une grande Industrie dans laquelle nous fonctionnons déjà comme des machines et que convaincus par la propagande de ceux qui la finance nous acceptions, résignés, ce Nouvel Ordre Mondial comme "nouvel idéal" de vie.

    La terre de vos parents c'est aussi la terre de vos enfants et peut-être de vos petits enfants. Au milieu... vous... vous qui, parce que vous êtes adultes (il paraît) et avec assez d'énergie (encore que), êtes sensés la protéger, la conserver, l'épanouir au mieux et pas à minima... social, sinon c'est tout ce que vous allez léguer au futures générations. Vous à qui l'Union Européenne demande de participer à l'Histoire de l'ensevelissement des populations souveraines en leur Pays. Il n'y a que dans les médias que l'on peut entendre des spécialistes expliquer aux français ce que doit ressentir prioritairement le Peuple français devant ses attentes (et ça marche). Vous avez pourtant, comme par instinct, toujours su que la politique et le copinage médiatique sont les outils d'une énorme mascarade démocratique, que les banques et les assurances sont une escroquerie car elles vendent trop cher un service minimum, que le système marchand ne travaille principalement que pour son bonheur... et que les guerres sont le bras armé de sa "force de vente" au nom de la paix et de la civilisation universelle.

    Vous avez acceptez les règles du jeu d'une compétitivité homicide contre des cacahouètes et pour quelques fausses libertés ainsi qu'une sécurité toute relative. Les seules fois où vous pensez participer à l'écriture de l'Histoire c'est lorsque l'on vous presse sur des sujets qualifiés de petites révolutions qui élargiraient ces libertés au nom de l'égalité... entre personne qui au final sont et resteront de même conditions sociales. On vous laisse alors vous affronter, jusqu'à l'épuisement, sur des sujets tristement secondaires qui n'ont rien de visions productives et émancipatrices puisque vous laissez toujours le soin à d'autres de les envisager et les réaliser pour vous.

    Dans les vidéos qui suivent, petit exemple, d'un petit Parti d'une grande objectivité d'analyse, ce qui lui vaudra sans surprise de rester où il est. L'Histoire écrite par les vainqueurs s'en souviendra comme d'un Don Quichotte qui affrontait des moulins à vent, c'est à dire, un de ces petits partis insignifiant et bien démuni, engagé dans un combat fantasmé contre un monstre qui n'existait pas.

    Nous préférons imaginer que l'Histoire se souviendra de modestes et sincères initiatives qui réussirent à révéler la supercherie cachée derrière de majestueux mais faux moulins institutionnalisés, qui utilisèrent trop longtemps le blé des autres... pour fabriquer principalement du vent.

    L'Europe dévore ses enfants !

     

    L'UE tue, mais restez comme vous êtes !

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  • Commentaires

    1
    BORIS
    Samedi 24 Mai 2014 à 02:53

    Moi, je vote pas! Pas véhiculé et intéressé!!happy

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