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De l'incitation à la haine raciale à l'antisémitisme généralisé (tout les français sont des antisémites qui s'ignorent), les Médias bien-pensants ou plutôt les animateurs de la pensée - que tout le monde devrait avoir la même - sombrent dans le ridicule.
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Après les violences - très urbaines - de ce samedi 1er décembre 2018, les médias, qui ne sont pas très curieux, qui ont visiblement la mémoire d'un poisson rouge et qui ne pratiquent plus beaucoup l'investigation non plus, s'interrogent encore pour savoir qui sont les casseurs. Ils ont cependant une petite préférence tout de même, à répéter de concert, sur toutes les chaînes (la fake news légitime), relayant les propos du Gouvernement, que c'est l'ultra droite... mais aussi l'ultra gauche (Le Pen et Mélanchon donc, derniers partis d’opposition historiques).
Pourtant, après les violences du samedi 24 novembre 2018 sur les Champs Élysées, BFMTV s'interrogeait déjà sur l'identité probable des casseurs et des pilleurs. Les médias s'interrogent d'ailleurs depuis des décennies après chaque manifestation qui dégénère. Mais comme le Gouvernement ils écoutent... mais n'entendent rien.
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