• Démocratie : Juste pour choisir nos maîtres

    Certains diront : "Et c'est déjà pas mal!"

    Ceux-là on les connait. C'est ceux qui nous gouvernent, ceux qui les médiatisent et ceux qui commandent à tous ce petit monde d'entretenir le plus longtemps possible cet état de fait.

    Mais osons aller plus loin.

    Et si nous votions nous même les lois de ce Pays. Des lois que nous subirions mais pour une fois qui ne seraient pas écrites strictement par d'autres. Des lois qui ne seraient pas prioritairement là pour seulement encadrer la vie des citoyens mais avant tout pour les remettre au Pouvoir... Armés juridiquement contre les Pouvoirs. Des lois qui limiteraient la pression de la gouvernance par les Affaires et l'Économie plutôt que de les libérer de toutes contraintes. Des lois qui ne seraient pas pensées et écrites par une poignée d'individus, soucieux de conserver leur domination et leur prédation, mais pour nous en protéger et au besoin, les plier d'abord et les rompre définitivement si nécessaire sans possibilité de retour aux "responsabilités" de leur fonction.

    Et si nous écrivions nous même une Constitution. Une Constitution du Peuple, par le Peuple, pour le Peuple et pas celle écrite par quelques Élites qui ont fait de cette Constitution le socle de leur Oligarchie et de leur domination sur tous les autres membres de la Société.

    Et si nous décidions, par le vote, de la Guerre et de la Paix quand d’autres s'appliquent à propager surtout la Guerre. Au nom de la France et donc de tous les français nous pacifions ici par la Guerre et là par les restrictions économiques, pour le plus souvent, lorsque ce n'est pas l’exclusivité, conserver ou développer par la force des intérêts privés. Mais par la force aussi nous allons les conforter, soutenir la croissance boursière de quelques multinationales trop influentes, de banque qui comme des vaisseaux mères sont incontournables, ou(et) permettre à ces Pays que nous connaissons trop bien de  d'entretenir, dans la douleur, leur hégémonie sur les restes du Monde.

    Et si nous comprenions que l'immigration massive c'est bon pour l'Europe, d'abord et seulement, car cela fragilise les Nations avant de les anéantir. Déconstruire les Nations en sapant leurs racines, leurs traditions et en faisant de l’autochtone le prochain réfugier, chez lui, pour que cette Europe - ce complot qu'est la construction européenne et cet attentat qu'est sa constitution - impose enfin sa légitimité en venant à notre rescousse. Quel serait l'issue d'un vote, que l'on ne nous proposera pas, sur ce sujet sensible de l'immigration, vu sous un angle de vue qui n'appartiendrait plus aux médias dominants?

    Et si... les médias justement...

    Oui avec des "si" on mettrait Paris en bouteille.

    Et si c'était la solution !

    Réduire Paris à sa plus simple expression. L'expression de sa taille par rapport à la France. Car ce n'est pas parce-qu'on s'agite dans la Cité historique qu'on est bienveillant et responsable envers les français. Mais on aime à le laisser croire et on ne s'en prive pas. Paris et ses courtisans de tous poils qui viennent se vautrer dans ce qu'ils croient être l'expression de la réussite tout contre ceux qui simulent cette réussite. Ils entretiennent cet immobilisme qu'ils appellent Progrès ou Croissance et qui ne change rien... Tout en dévastant tout.

    Il arrive le temps qui réclame de revenir aux choses essentielles qui sont les réelles préoccupations de tout le reste du territoire national. Il arrive le temps du retour aux sources, de la Vie qu'on ne dépensera plus à la gagner, de ce qui fait sens contre ce qui ne fait fructifier que les intérêts de quelques portefeuilles. Il arrive le temps de l'Homme, œuvre naturelle déjà accomplie, contre la Machine, toujours en devenir, et surtout la machine à fric sortie de l'esprit malin mais étroit du simple prédateur qui s'y faufile.

    Mais y a-t-il au moins une solution pour changer les choses.

    Il n'y a que ça des solutions. Ce qui manque à leur réalisation c'est leur diffusion à grande échelle car les médias et autres ministres ne le feront pas pour nous. C'est la volonté de ne pas se laisser guider par ceux qui ne voient en nous qu'une Ressource Humaine captive de la consommation. C'est le courage d'admettre une fois pour toute que nous sommes sur le mauvais chemin mais que nous sommes plus à réfléchir et a discuter entre nous que les quelques individus qui complotent pour façonner ce Monde à leur image.

    "Le secret de l'action c'est de commencer" et c'est tellement vrai.

    Il faut donc y aller avant que ce soit trop tard.

    La nouvelle loi Macron II, baptisée Noé, nous semble très révélatrice. "Nouvelles opportunités économiques" nous dit-on. Les "complotistes d'internet" voyaient déjà dans la récurrence de "Noé", "Néo", "Némo" à travers les films de propagande hollywoodiens, le message subliminal qui évoque le Nouvel Ordre Économique ou Nouvel Ordre Économique Mondial qu'on nous impose.

    Alors quoi ? Emmanuel Macron n'aurait pas d'originalité pour baptiser ses projets de lois. Ou suit-il simplement le chemin qui se déroule devant lui, pour sa carrière et pour ceux qui la tiennent dans leur main ?

    Posez-vous la question.

    Nanotechnologies, biotechnologies, numérique, robotisation, économie collaborative, intelligence artificielle, réforme du droit du travail… c'est sans doute parce qu'on assiste à une déferlante de ruptures en tous genres que le nouveau projet de loi d'Emmanuel Macron s'intitule curieusement #noé. Noé comme : nouvelles opportunités économiques. Thème sur lequel le président de la République lui avait demandé de plancher cet été. Plus qu'un projet de loi, le ministre prépare une "stratégie". Car si certaines mesures relèvent de la loi, avec un projet de loi sur l'économie numérique qui sera présenté "en janvier", "d'autres éléments relèvent de la négociation collective" et "parfois de la mobilisation des acteurs privés" eux-mêmes, a indiqué Emmanuel Macron, lors d'un grand show organisé à Bercy, le 9 novembre, en présence de la secrétaire d'Etat au commerce Martine Pinville et d'un aréopage d'acteurs de cette "économie disruptive" : de la jeune génération de patrons décontractés incarnée par le président fondateur de BlaBlaCar Frédéric Mazzella au docteur en neurosciences Laurent Alexandre fondateur du site Doctissimo, en passant par le professeur de droit Jean-Emmanuel Ray pour qui le droit du travail a été "conçu sur un modèle militaro-industriel" dépassé… lire la suite sur http://www.localtis.info

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